> ÉTYMOL. ET HIST. A.− 1. Ca 1130 beneeite (Couronnement de Louis, éd. E. Langlois, 27 : Quant la chapele fu beneeite); 1172-75 benëoit « sur qui a été répandue la bénédiction divine, bienheureux » (Chr. de Troyes, Chevalier Lion, 2380 dans T.-L. : benëoiz Soit mes sire Gauvains); ca 1190 « qui a été consacré par des cérémonies rituelles » ewe benëeite (M. de France, Purgatoire, 469, ibid.); 1150-1200 pain benëoit (Aliscans dans Bartsch, Chiertomathie, 19, 227), devenu iron. 1546 (Rabelais, Tiers Livre, éd. Marty-Laveaux, chap. 32, t. 2, p. 159 : et vous ayme tout mon benoist saoul), qualif…