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12:38 PM
Ma réponse? Je ne sais pas et c'est pour ça que je n'ai pas répondu. S'il y a une réponse c'est probablement soit « c'est comme ça, ça fait partie du vocabulaire et des expressions » ou bien quelque chose de plus subtil d'ordre grammatical ou historique.
Le texte de ta réponse n'a vraiment ni queue ni tête, tu veux arriver à une conclusion et tu fais semblant qu'il y a une logique derrière alors qu'il n'y en a pas. Le partitif ne s'emploie simplement pas pour des choses dénombrables.
En commentaire tu dis quelque chose qui étonnamment semble marcher parfois, mais qui ne se généralise pas. C'est vraiment pas une bonne idée de faire croire que ça pourrait être une règle.
C'est à peu près le même problème que celui-là: french.stackexchange.com/questions/7441/…. Je me suis rendu compte que je ne savais pas répondre, excepté pour chaque cas particulier séparément. Je n'ai jamais lu quoi que ce soit en rapport avec ça non plus.
 
 
8 hours later…
8:23 PM
Effectivement, je n’ai pas de réponse non plus lorsque je cherche une solution savante, académique, certaine : mais contrairement à ce que mes propositions peuvent laisser croire, je n’ai ni théorie et n’affirme aucune conclusion… ce qui ne va pas me faciliter la tâche.
Je me rends compte que je ne développe pas mes réponses (car elles sont tellement évidentes de mon point de vue… je vais prendre pour exemple celle *douceur/agressivité* que tu cites).
Les questions sont posées sans contexte, tronquées et donc les réponses sont indécidables, de plus, en cherchant on peut trouver des cas contraires à l’orientation de départ… (ce qui justifie ton silence, face à un abîme insondable), car elles ne peuvent renvoyer à la grammaire, aux règles, mais nécessitent des contextes (comme Romain l’a fait sur l’exemple dont on parle).
C’est le côté pile de la pièce, celui où il y a des nombres, des lettres, des règles qui aident à l’intelligibilité d’une langue, le point de vue le plus partagé ; ne serait-ce que parce que l’on parle de nombres, de quantités qui sont des symboles liés aux objets, à l’avoir, au ‘faire’..
Or le point de vue du côté face de la pièce n’a pas du tout les mêmes préoccupations : il n’y a pas une recherche de l’intelligibilité du mot par tous, mais une recherche de la source, de son intelligibilité avec un lexique différent : on ne recherche pas si c’est dénombrable ou non, mais si le contexte renvoie à être ou à avoir, faire, agir, pouvoir.
Est-ce que c’est l’un, l’unicité, soi-même (la vie qui se manifeste dans un être [nom ET verbe à la fois, tant le fait d’être est intimement lié à l’être… ce que n’ pas avoir]) qui renvoie à la conscience (impotente, impuissante, immobile, mais lien sensible et obligatoire avec la réalité ou la dualité, domaine du mental et de l’ego, qui à force de contorsions, d’imprécisions, de distorsions avec la réalité, d’oblitérations, de milles astuces casuistes, rhétoriques…
... ou plus noblement à force d’accumuler des découvertes non finies amènent l’esprit aux vertiges du bord de falaise, et donc à la frayeur ou au silence.
Tel Janus ou la pièce de monnaie, selon que l’on s’intéresse au côté intérieur ou extérieur de sa propre peau et de ses paupières, cela va donner un oracle différent pour parler en fait d’une même réalité.
Difficile de faire court et concis, l'avenir nous dira si cela est suffisant pour trancher le nœud gordien de la complexité.
 

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