@LPH french.stackexchange.com/questions/49186/…

le cas extrême d'une situation où ces quatre individus --- Comment saviez-vous qu'ils sont quatre ? :) Dans cette histoire, il y a 5 personnes dans la cour.

À tout le monde, Yasmina Khadra, Le baiser et la morsure

La religion doit être considérée comme une proposition, et non comme un imperatif. Pour moi, il ne peut y avoir de religion saine sans libertés. Tout ce qui est contrainte fausse la fiabilité de l'engagement.

@Oreste Pur hasard, rien à voir avec ça ; pour qu'ils soient plusieurs à regarder deux d'entre nous il y en a nécessairement au moins deux, et au minimum il y a quatre personnes.

@Oreste Il n'y a pas de religion sans un guide spirituel ; si chacun est son propre guide il n'existe plus une religion mais une multitude de religions produites par une multitude de schismes. Il faut des limites, et l'explosion du protestantisme en de multiple groupes religieux a trouvé tout de même une limite ; le processus est assez restreint de nos jours ; qu'arriverait-t-il s'il n'y avait pas de fin à ce processus ?

LPH, je vous proposerais de ne pas vous attarder sur les détails. Yasmina Khadra parle de la liberté intérieure. Sinon nous ne serions que des moutons guidés -- trop souvent -- par des bergers sans scrupules. Il n'est pas question de multiples groupes religieux ici. Je me souviens d'avoir lu une pensée semblable dans l'un des livres de Viktor Frankl, dans lequel il raconte son emprisonnement dans un camp.

Est-ce que j'écris "si mon ami n’avait pas raison" ou "si mon ami n’a pas raison", svp ?

Plutôt le présent: mon ami n'a pas raison puisqu'il est là, que c'est très récent et qu'il le pense toujours. Sinon: qui reste toujours à l'ombre → qui reste toujours dans l'ombre et pour un instant → l'espace d'un instant (ou pendant un instant).